Toutes les cellules vivantes gardent leur concentration en calcium cellulaire à un niveau très bas. Une légère augmentation en calcium peut affecter de nombreuses fonctions cellulaires critiques (une concentration élevée en calcium pendant une période prolongée peut induire la mort cellulaire). De puissants mécanismes cellulaires veillent à ce que la concentration en calcium revienne rapidement à son niveau bas.
On sait que les troubles de la régulation du calcium cellulaire sous-tendent presque toutes les maladies neurodégénératives. Par exemple, il a été montré que la perte de la régulation du calcium liée à l’âge induit la vulnérabilité cellulaire dans la maladie d’Alzheimer.
Dans une étude publiée récemment dans le Journal of Neuroscience, les chercheurs de l’Université de Jérusalem, avec des collègues d’Israël et des Etats-Unis, présentent un mécanisme cellulaire, non précédemment décrit, essentiel pour maintenir la concentration en calcium cellulaire faible. Ce mécanisme fonctionne avec d’autres mécanismes déjà identifiés.
Le Docteur Shirley Weiss et le Professeur Baruch Minke de l’Institut de recherche médicale Israël-Canada (IMRIC) et du Centre Edmond et Lily Safra pour la recherche sur le cerveau (ELSC) de l’Université caractérisent ce mécanisme en utilisant des cellules photo réceptrices de la mouche des fruits, qui est un excellent modèle pour l’étude des processus biologiques fondamentaux.
Ils ont trouvé qu’une protéine – le calphotin (un tampon pour le calcium) – fonctionne en isolant des concentrations de calcium élevées. L’élimination génétique des calphotins se traduit par une légère augmentation en calcium cellulaire pendant une période anormalement longue, conduisant à la dégénérescence des photorécepteurs de la rétine chez les mouches des fruits.
Les chercheurs soulignent que ce type de recherche, qui conduit à une meilleure compréhension des mécanismes fondamentaux qui sous-tendent la régulation du calcium cellulaire, est essentiel pour le développement de nouveaux médicaments et traitements pour les maladies neurodégénératives.
Je pense que d’ici 10 ans, avec les nanotechnologies, nous seront capables de créer des médicaments qui se fixeront sur les neuro récepteurs exact, avec une quantité de substance active moindre et cela évitera des prises de prises en grandes quantité qui se répandent dans tout le corps. En tout cas c’est grâce a la nano-techologie que nous avons les computeurs, téléphones portables, le laser, les scanners (médicaux). Et tout cela a été développé pour la conquête spatiale. Un ordinateur quantique pouvant fonctionner avec 100 photons permettrai de calculer la quantité de particules sub atomique de l’univers ! Mais c’est dans un futur lointain les Qbits.
A propos dea maladies neurodégénératives, je me demande si il n’y a pas une accélération de la destruction des télomères. Pourquoi pas imaginer avec les nanotechologies de placer une sotre de protection désactivant cette dégénérescence ! Nous arivons bien a rendre des fils tellement solide simplement en implantant quelque nono tubes de carbones. Les japonnais pensent déjà pouvoir créer un ascenseur pouvant monter de 100 kilomètres avec un câble renforcé avec ces nano tubes de carbone.